On croit comprendre que ce jeune cacographe parle là des catholiques, mais évidemment on ne peut être sûr de rien :
Cet arbre de vitalité au pied duquel ils ont flingué à tout jamais la
créativité, cette profonde jubilation de vie, cette arme inoffensive
d’un être qui cherche à se construire doucement, pour inciter à crever
d’une façon mortifère et définitive en soi.
(Source)
Traduction , svp ?
RépondreSupprimerBurp, hein.
RépondreSupprimerMerci de la citation, mais en ces lieux, je ne suis pas sûr que ce soit un cadeau (et encore moins du ciel).
RépondreSupprimerL'écrivain en bâtiment a oublié sa truelle sur l’échafaudage. Et ça fait moche.
Au fait, les putes et les militaires, ça avance ?
Ah, mais si, c'est un honneur ! À tel point qu'il m'est arrivé de m'auto-citer à seule fin de bénéficier moi aussi de cet honneur.
RépondreSupprimerPour le reste, les putes je vois à peu près l'allusion à mes modestes travaux, mais les militaires ?
J'ai eu beaucoup de mal à aller jusqu'au bout. Rien que cette phrase ... "Tout avait concouru à ce que je me dirige vers moi-même, comme on doit tous le faire à des moments qui façonnent nos vies, mais que l'on maçonne"... donne envie de s'arrêter net. C'est un grand malade, non ?
RépondreSupprimerGeneviève
Ah le Moi-même-isme?
RépondreSupprimerc'est quelque chose…
"une arme inoffensive"...ben c'est pas une arme (ducon)
RépondreSupprimerOups! la dernière interjection m'a échappé.
Les commentaires sur son blog sont d'une nullité au moins aussi cataclysmique. Et dire que tous ces gens là ont le droit de vote. En fait ce n'est pas le plus grave. Leur voix pèse autant que celle du taulier de ces lieux!!! C'est ça qui fout réellement la trouille
Popeye