jeudi 14 mars 2024

samedi 7 octobre 2023

Étrange rencontre

  je me suis heurté à un mur qui vit dans un monde clos

 Ce Renépol, tout de même… C'est à ne plus oser sortir de chez soi, un truc pareil…

mercredi 5 février 2020

La quadrature, camarade, la quadrature !


De manière générale, j’aimais bien consulter de temps à autre Courrier International, histoire d’élargir ma vision du monde au delà du cercle étriqué de l’hexagone…

Ce qu'on appelle : exprimer rondement une pensée carrée.

samedi 15 juin 2019

La question du jour


Quel qualificatif peut on donner à cette forme d’esprit qui organise le trouble, sciemment ou non, destiné à formater une partie de la foule en déficit de vigilance, par inversion de la relation de cause à effet…et inversement

Chez Anastase, en commentaire.

mardi 4 juin 2019

Anastase jardinier


On doit ratisser large… mais avec quelques lignes jaunes

Ça va être coton, mon bon… y a des gravillons qui risquent de passer entre les lignes jaunes…

mercredi 14 novembre 2018

Une écrivaine, ça écrit comack !


La question n’est pas tant de savoir ce qu’il faut faire ce samedi-là que de découvrir ce que cela fait ressortir comme fantasmes et représentations sociales de part et d’autre, des failles à présent béantes qui ont atomisé notre tissu social, qui nous empêche à présent totalement de faire société.

Si la dame pouvait avoir la bonté de nous expliquer comment une faille peut atomiser un tissu, même social, ce serait vraiment une bonne chose. J'aimerais bien aussi qu'elle me donne le mode d'emploi pour que je puisse, moi aussi, faire société comme les autres. Yapadréson.

jeudi 27 septembre 2018

Langue de combat

Le camarade Gauche de Combat (Adolfo Ramirez pour les intimes), continue de traquer les nazis, un peu comme ces lampistes japonais qui, terrés dans leurs îles désertes du Pacifique, poursuivaient tout seuls la Seconde Guerre, des années après sa fin. Pour faire barrage à ces hordes de gestapistes embusqués, il dispose d'une arme terrible : la petite phrase qui fait mouche. Comme celle-ci :

Et  bien que je ne veuille pas sombrer dans un minable complotisme de bas étage, qui me rangerait irrémédiablement dans le camp de ceux que je conspue ici si volontiers, moi qui suit si friand des démonstrations factuelles, loin des beaux discours qui ne suffisent pas, si une cellule riposte – propagande – vigilance médiatique – du champ de la fachosphère existait (je sais que c’est le cas chez nos adversaires, j’en ai la preuve pour certaines organisations), et qu’elle avait voulu assoir par un exemple faisant office de preuve irréfutable, permettant de l’instrumentaliser à souhait, ce concept idiot de racisme anti-blanc, qui n’existe qu’à l’extrême-droite et chez ces satellites, et façonné par elle à l’origine,  elle ne s’y serait pas prise autrement.

Une phrase d'Adolfo, c'est comme le régime hitlérien : ça fait du bien quand ça s'arrête enfin…

mercredi 11 juillet 2018

La concision du titre chez Atlantico


Syrie : la Russie est-elle en train de réussir la première opération militaire étrangère de l'histoire moderne du Moyen-Orient qui se traduise par un succès ?

(Source.)

mardi 19 juin 2018

Le crétin du jour (de Spire en pire)



Aller au Louvre, passer devant tous ces grands tableaux permet de réaliser de visu, à quel point la culture française moderne s’est construite sur une base raciste entre le 16e et le 19e siècle.

(En commentaire chez un autre crétin d'anthologie.)

vendredi 25 mai 2018

La particule élémentaire


Il n’y a bien sûr aucune relation de cause à effet, et ce serait grande médisance de penser que Marion Maréchal Le Pen a voulu abandonner sa particule synonyme de haine raciste en raison de cette triste filiation…

Signé Adolfo Ramirez, le délateur qui voit des particules partout.

lundi 2 avril 2018

Mon gars, faut arrêter la drogue, ou en prendre davantage


Au dessus d’une crête de crânes cagoulés aux gants renforcés, je voyais des roses blanches émues aux grilles de l’immeuble.

(Source, tout le billet vaut la peine…)

dimanche 1 avril 2018

Ça va les chevilles ?


Je me suis construit une bonne estime de moi, quasi indestructible.


(Tout le billet est à savourer. C'est l'histoire d'un mec qui vit du RSA – de charité publique obligatoire, donc – et qui en tire la conclusion suivante : « J’existe par moi-même en tant qu’individu autonome et adulte, je me suffis. » Comme de juste, après ce superbe bombement de torse, le texte se finit en pleurnicheries existentielles.)

vendredi 26 janvier 2018

Il faut se le fader


Aus dem Nicht traduit de l'allemand au français par In the Fade, ce qui est assez étonnant puisque c'est de l'anglais au final.

Mais seulement “au final”, grâce au Ciel…

(Source.)

jeudi 25 janvier 2018

Virginie et l'hôtel du libre échange


Cette chambre luxurieuse est tout confort et donne envie d’y passer du temps.

Tu m'étonnes, Simone