Je me suis juste offert le luxe appréciable de prendre mon temps pour y réfléchir et de laisser le soufflet retomber afin de contempler sur sa croûte racornie les circonvolutions des histoires qui s'imbriquent les unes aux autres jusqu'à dessiner la chronique de notre humanité ordinaire.
Je rappelle que la dame qui a écrit ça se revendique écrivain – pardon : écrivaine. Du reste, deux lignes avant elle délivrait un blanc-seing à la médiocrité ordinaire. Je ne sais pas si vous avez déjà essayé de délivrer un blanc-seing à une médiocrité, ou de rencontrer une médiocrité extraordinaire, mais je peux vous assurer que ce n'est pas donné à tout le monde.
Oh, oh, le petit joueur. Des blanc-seings, moi, mais que la médiocrité, la facilité, la pondération se présentent, et je leur en délivre, moi, des blanc-seings, et tant qu'elles veulent.
RépondreSupprimerFanette, cachez ce blanc-seing que je ne saurais voir.
RépondreSupprimerDepuis votre soufflet, Didier, la dame a corrigé son soufflé... :0)
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