Surtout que pour tordre des clichés à la racine il faudra à nos humanistes consanguins mettre la main à la pâte d'autant plus si cette dernière touche le sexe du ci devant bénéficiaire ( pardon pour le baffouillage érectif )
Et qu'aime faire Renée Greusard, entre deux marronniers sur des grévistes allaités ? Ceci :
Faire des reportages dans des culottes, interviewer des zizis, enquêter sur des vagins. Le lit est un terrain journalistique fou, plein de rencontres !
Les commentaires sous l'article valent aussi le détour. Une libraire "jeunesse" nous dit ceci, en parlant d'un livre sorti récemment, qui a sûrement le malheur de "véhiculer des stéréotypes" :
Une représentation digne de 1950. La gerbe totale.
Oui, hein, on en frissonne ! Les heures les plus sombres, etc. Heureusement, notre libraire boycotte désormais cet éditeur nauséabond. Nos têtes blondes sont sauvées, ouf !
Surtout que pour tordre des clichés à la racine il faudra à nos humanistes consanguins mettre la main à la pâte d'autant plus si cette dernière touche le sexe du ci devant bénéficiaire ( pardon pour le baffouillage érectif )
RépondreSupprimerQu'on ne touche pas à mon cliché! Même avec un "livre jeunesse".
RépondreSupprimerVous êtes vache , faut pas pousser mémé dans les orties avec l'eau du bain , sans ça c'est la porte ouverte à toutes les fenêtres .
RépondreSupprimerPrésentation de l'auteur de l'article sur le site Rue89 :
RépondreSupprimerJe suis journaliste spécialisée en sujets société et social (j'aime parler de grévistes mais aussi d'allaitement).
Sans commentaire...
Et qu'aime faire Renée Greusard, entre deux marronniers sur des grévistes allaités ? Ceci :
RépondreSupprimerFaire des reportages dans des culottes, interviewer des zizis, enquêter sur des vagins. Le lit est un terrain journalistique fou, plein de rencontres !
Les commentaires sous l'article valent aussi le détour. Une libraire "jeunesse" nous dit ceci, en parlant d'un livre sorti récemment, qui a sûrement le malheur de "véhiculer des stéréotypes" :
Une représentation digne de 1950. La gerbe totale.
Oui, hein, on en frissonne ! Les heures les plus sombres, etc. Heureusement, notre libraire boycotte désormais cet éditeur nauséabond. Nos têtes blondes sont sauvées, ouf !
les clichés ? une mauvaise herbe et certains le fument.
RépondreSupprimerC'était en août -- un(e) stagiaire ?
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