Quand le
transatlantique élégant s'embrochait vivement sur l'iceberg terminal, le
paquebot ventru des croisières organisées à la petite semaine se vautre
lamentablement sur l'éperon timide d'une mer presque intérieure.
J'ai pris cette phrase-là presque au hasard, tant la mine est riche. En réalité, je crois qu'il va être difficile de faire mieux que ce billet, dans le genre “je ne dis absolument rien, mais en beaucoup de mots”. Allez-y de ma part…
Pourquoi se moquer, c'est du grand art, tout de même. Non ?
RépondreSupprimer"l'inéluctable constriction de la cosmologie contemporaine autour du nombril de ses thuriféraires"
RépondreSupprimerCe n'est pas mal non plus...
Je suis désolée, mais je n'ai absolument rien compris !
Geneviève
Ah ouais, c'est du lourd. Ce n'était un paquebot à voiles, mais le commentaire est gonflé de vent.
RépondreSupprimer"l'inéluctable constriction de la cosmologie contemporaine autour du nombril de ses thuriféraires"
RépondreSupprimerC'est piqué à un sketch des Inconnus.