jeudi 19 octobre 2017

N'ayons pas peur des contradictions


Nous sommes quatre-vingts pour cent d'une classe d'âge depuis les années 80 à avoir obtenu le baccalauréat. Nous ne sommes pas des ignorants ou des analphabètes.

Je sais bien qu'il y a là deux phrases et non une seule. Mais l'occasion d'épingler ce cuistre était trop tentante…

10 commentaires:

  1. Paul Léautaud, en son temps, avait bien compris que les français étaient des imbéciles (il ne parlait pas d'armée, lui). Voltaire aussi. La lecture de la prose de monsieur Poireau confirme, qu'hélas, cela n'a pas changé. Pourquoi d'ailleurs cela aurait-il changé ?

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  2. Il vaut mieux, à tout prendre, être un cuistre plutôt qu'un cuistre fieffé !

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  3. Il est encore dans ma blogroll ? Ou vous avez trouvé ça ailleurs ?

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    1. Vous me rassurez pour ma blogroll mais c'est limite vexant. Vous trouvez des cô'eries ailleurs que chez moi.

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  4. Quelle fierté que d'attirer l'attention de gens aussi brillants que vous, quelle flatterie que vos nobles yeux se posent encore sur la plèbe.

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    1. Il se pourrait que la contradiction vienne du "s" de quatre-vingt... Je ne sais pas si c'est ça, mais, si oui, l'argument me semble faible...enfin, chacun se le voit

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  5. nous ne sommes pas QUE ou TOUS aurait été plus juste

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  6. je viens d'y faire un tour Eh ben dites donc, c'est du grand art, le haut du panier, l'Himalaya Affaire a suivre, comme qui dirait

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  7. En plus c'est un peu faux : s'agissant du bac généraliste, on peine à atteindre les 40%. Ce sont les "autres" bac qui ont permis de faire progresser le pourcentage.
    Il ne faut pas confondre taux de réussite de ceux qui se présentent à l'examen et classe d'âge.

    file:///T:/Profile/Downloads/FPORSOC16m5_F5.5_education.pdf

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