vendredi 24 décembre 2010

Un crétin de la plus belle eau


Je viens tout juste de le découvrir, il semble fort prometteur, ne serait-ce, déjà, que par le “profil” qui trahit naïvement l'extrême satisfaction de soi du taulier. Petite mise en bouche (mais tout le billet est à lire, tant y éclate la profonde ignorance de son auteur) :


On ne peut rien contre les générations qui changent, les mentalités qui évoluent quoiqu'on fasse, les mœurs qui se transforment envers et contre tout, le métissage, le mélange des cultures, les unions inter-ethniques les migrations, les progrès scientifiques...


Quand on ne peut rien à ce point-là, on devrait peut-être envisager le silence. Enfin, ce que j'en dis...

8 commentaires:

  1. Merci, c'est trop d'honneur.

    Je comprends bien qu'il est difficile de meubler la vacuité de votre pensée et l'ennui qui suinte de vos blogs.

    Du coup, je comprends mieux votre désir de chercher ailleurs ce qui a un sens, n'est ce pas ? ;-)

    Vos certitudes de vieux réacs et vos jugements comminatoires me font doucement marrer, Goux...

    Consacrez vous à vos clébards, mon cher ami, ce sont à peu près les seules créatures que vous pouvez encore épater.

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  2. Pourtant, il me semble que quand on s'affuble d'un pseudonyme pareil, on devrait apprécier les blogs qui parlent de chardonnerets.

    Sont trop cons, ces piafs...

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  3. Tout ça, c'est de la roupie de sansonnet, la preuve, il l'avoue:
    "C'était ma séquence "philosophie de volière".

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  4. Voyez vous, mon cher Goux, l'insulte est simplement de trop. J'accepte la raillerie. Pas l'injure.

    Actuellement, je n'ai pas le temps mais attendez vous tout de même à une riposte...

    On verra bien comment vous prendrez mon humour, pour peu qu'il m'en reste.

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  5. Ah, l'on fait dire ce que l'on veut à l'Histoire, même que ce brave Henri était un bon roi, par la force des choses. On se demande de quelle force il s'agit, parbleu, quel dommage qu'Adolf Hitler n'ait été lui-même soumis à celle-ci.

    Pour le reste, je ne l'ai pas trouvé si idiot ce billet, orienté, c'est certain, et boursouflé de curieux raccourcis mais j'ai lu pire...

    Monsieur Loiseau qui fait cui-cui, je ne sais quelle graine vous mangez mais je me permets quand même de vous signaler que votre bannière est en revanche d'une épouvantable laideur. Embauchez un designer, que sais-je, ou faites sobre : du blanc, du noir, un petit volatile dans un coin et le tour sera joué...

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  6. Dorham : vous avez raison, il y a bien pire ! Ce doit être l'arrêt du tabac qui me fausse le jugement...

    Mais il paraît que notre homme a l'humour ravageur et que je ne vais pas m'en remettre : attendons, donc.

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  7. Brrrr ça fait peur quand même…
    L'oiseau cru fait cui-cui
    L'oiseau cuit ne le fait plus

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