Ce monde d’égoïsme, du chacun voit midi à sa porte, du comme c’est drôle regardez comme il se débat, ô mon Dieu il se noie, et vont fermer aussitôt l’écran de leur vide émotionnel intérieur qui ne se rallume que pour se pâmer devant les petites fleurs des champs ou leur propre petite faiblesse du jour, mais surtout pas pour blâmer l’injustice qu’il y a de naître en France pourquoi pas honnête, pourquoi pas travailleur, ou poli, ou gentil, (et quand bien même arrogant, hautain, voire agressif parfois) … et de s’appeler Abdelkarim ou Ben Tarek, en proie aux moqueries, aux contrôles au faciès, et autres injustices quotidiennes qui ne concernent en rien l’homme ou la femme (et, encore plus grave, avant lui l’enfant…) qui vit à travers ces patronymes, mais bien plutôt une certaine civilisation qui n’a rien trouvé de mieux à faire que de nous tirer tous vers le bas par ce biais là, archi-classique par temps de crise : la haine de l’autre, le rejet de l’étranger, la recherche d ‘un bouc-émissaire facile.
(Source)
Pov' malheureux, qu'est-ce qu'il attend pour aller aux putes !
RépondreSupprimer@Emma
RépondreSupprimerOui, il n'a que trop tardé, il en devient frénétique!
et après les putes il pourrait retourner à l'école.
RépondreSupprimerDidier, c'est un génie! vous avez trouvez un génie!
RépondreSupprimerComment peut-on arriver à faire dans la sensiblerie à ce point là?
Un génie je vous dis!