Ah mais je revendique ma phrase. Je donne d'ailleurs l'explication dans mon billet. C'est un peu comme le pâté Hénaff. On aime bien ça, mais on préfère le foie gras et on n'en achète jamais.
J'ai bien compris l'explication qui suivait. Mais la phrase, en elle-même, était trop belle pour que je la laisse passer. Et puis, si ce n'est pas moi qui vous épingle, qui osera le faire, espèce de blogoterreur ?
Mais n'est-ce pas le bon Nino Ferrer qui chantait : "Mon frère déteste les épinards / et c'est heureux pour mon frère car / s'il les aimait il en mangerait / or il ne peut les supporter" ? Raisonnement poétique admirable, dont on ne peut saluer la puissance que par le truchement d'une autre citation : "Voici, mes zinfints, sans en avoir l'air / le plus beau vers de la langue française."
Ah mais je revendique ma phrase. Je donne d'ailleurs l'explication dans mon billet. C'est un peu comme le pâté Hénaff. On aime bien ça, mais on préfère le foie gras et on n'en achète jamais.
RépondreSupprimerJ'ai bien compris l'explication qui suivait. Mais la phrase, en elle-même, était trop belle pour que je la laisse passer. Et puis, si ce n'est pas moi qui vous épingle, qui osera le faire, espèce de blogoterreur ?
SupprimerAh non, c'était mérité.
SupprimerIl y a un théorème diffférent et corollaire :
RépondreSupprimerCe n'est pas parce qu'on aime la peinture qu'on a des tableaux chez soi. Réfléchissez y.
Déjà le gruyère ce n'est pas un fromage Français, mais un fromage Suisse. Le Gruyère Français s'appelle l'Emmental.
RépondreSupprimerEnsuite, évidement la phrase n'a absolument aucun sens mais peu importe, elle me fait penser à deux autres :
"Je n'aime pas les riches, mais j'en suis un" (FH)
"J'aime bien les musulmans, mais je n'en fréquente aucun"...
Multipliable à l'infini bien évidement.
Mais n'est-ce pas le bon Nino Ferrer qui chantait : "Mon frère déteste les épinards / et c'est heureux pour mon frère car / s'il les aimait il en mangerait / or il ne peut les supporter" ? Raisonnement poétique admirable, dont on ne peut saluer la puissance que par le truchement d'une autre citation : "Voici, mes zinfints, sans en avoir l'air / le plus beau vers de la langue française."
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