Sans doute pour que 2010 ne me laisse vraiment aucun regret, on m'a donné pour la conclure à récrire un texte de six mille signes, dont la dernière phrase était celle-ci :
Et, lorsqu’elle veut se souvenir, elle se rend au Louvre le plus naturellement du monde, comme elle a tissé sa vie suivant les élans de son coeur, avec une volonté de fer dans un monde de velours.