jeudi 27 septembre 2018

Langue de combat

Le camarade Gauche de Combat (Adolfo Ramirez pour les intimes), continue de traquer les nazis, un peu comme ces lampistes japonais qui, terrés dans leurs îles désertes du Pacifique, poursuivaient tout seuls la Seconde Guerre, des années après sa fin. Pour faire barrage à ces hordes de gestapistes embusqués, il dispose d'une arme terrible : la petite phrase qui fait mouche. Comme celle-ci :

Et  bien que je ne veuille pas sombrer dans un minable complotisme de bas étage, qui me rangerait irrémédiablement dans le camp de ceux que je conspue ici si volontiers, moi qui suit si friand des démonstrations factuelles, loin des beaux discours qui ne suffisent pas, si une cellule riposte – propagande – vigilance médiatique – du champ de la fachosphère existait (je sais que c’est le cas chez nos adversaires, j’en ai la preuve pour certaines organisations), et qu’elle avait voulu assoir par un exemple faisant office de preuve irréfutable, permettant de l’instrumentaliser à souhait, ce concept idiot de racisme anti-blanc, qui n’existe qu’à l’extrême-droite et chez ces satellites, et façonné par elle à l’origine,  elle ne s’y serait pas prise autrement.

Une phrase d'Adolfo, c'est comme le régime hitlérien : ça fait du bien quand ça s'arrête enfin…