Utiliser la peur du terrorisme pour disqualifier l’antifascisme et
l’antiracisme en un amalgame aussi grotesque, qui mêle en sus de cette
instrumentalisation de la peur les pires clichés racistes (le prétendu
racisme anti-blanc si grotesque) et sexistes aux tristes relents
d’homophobie, voilà un tour de force qui ne qualifie pas précisément
cette non-pensée là, qui n’est qu’émotion négative, d’aussi haute qu’on
l’aurait attendu de personnages qui se voudraient si haut perchés… alors
qu’ils sont pris en plein délire à sombrer dans de pareils marécages si
fétides.
(Source.)