Le malentendu se nourrit toujours du malaise.
Compris ? Toujours ! Si, une fois, vous avez cru voir un malentendu manger autre chose, c'est que ce n'était pas un vrai malentendu.
(Source)
Ouf ! Ouf ! Bouter la Boutin ainsi, quel ivresse ce doit être : le frisson de l’ortie, le tangage de l’artimon nubile, le roulis de la fièvre aphteuse et du moulin à café réunis dans un hymen commun et tarpéien…… Houuuuuuuuuu ! Houuuuuuuuu ! l’autan passa, le tilleul cassa, tout mais pas çà…….
mais ce dont je suis conscient, c'est que si je suis porteur d'un habitus de taré pour autrui me rendant inacceptable affectivement et sexuellement pour autrui, je sais aussi que par affection, qui serait profonde et attentionnée dans mon cas si je devais, au sens du devoir radicalement accepté et vécu, vivre et construire un enfant, je lui transmettrais cette bonté qui me rend taré aux habitus des "autrui"
et que donc, je reproduirais ma souffrance.