Eco connaissait l'oeuvre d'Audiberti et ce qui est dit de celle-ci par
Guérin vaut pour celle d'Eco: l'hétérogénéité y domine et une forme de
combat manichéen (et accessoirement référencé à la gnose dans l'une et l'autre oeuvre) ayant pour protagonistes ce qu'il faudrait appeler l'enquête par délire obsessionnel et association paralogique dont se vêt l'irrationnel comme atour spécieux, fictionnel, fortement littéraire et séduisant (tant dans Le Pendule de Foucault que dans le Nom de la Rose) d'une part, et d'autre part ce que certains désignent ici comme exigence de vérité, s'y noue et s'y dénoue, et toujours partiellement, en tissant la matière de l'oeuvre.
(Source.)