Le saisissement, l’effroi sacré qui nous habitait est un moment qui n’a pas ses mots pour le décrire raisonnablement.
La source est ici. Mais comme la tartine est épaisse et peu digeste, vous pouvez vous contenter des plus savoureux extraits. L'occasion, donc, de voir un effroi sacré se transformer en moment. Du même style que : ce sabre est le plus beau jour de ma vie.
La vision à courte vue de ces gens là me lance dans un abîme de
perplexité quant à la qualité de leur investissement intellectuel face à
des questions qui nécessitent davantage qu’une réflexion purement
économique de court terme qui les a mené dans la voie sans issue dans
laquelle ils sont aujourd’hui.
Et en plus de ça, dans le même billet, le camarade mélanchouineur renie son caudillo…
Ah, et je ne parle pas des malversations d'Apple dans ses usines chinoises, qui a du coûter très cher, vu le peu de sens de l'humour des Chinois...et on les comprend.
Sûr que, par rapport à “ça”, les Chinois semblent assez faciles à comprendre.
Pour une raison que je serais bien en peine d'expliquer précisément,
j'ai un peu l'impression qu'on retrouve ici quelques motifs de
l’irréconciliable écart entre les croisés du prépuce et les circoncis
satisfaits et un peu goguenards.