samedi 27 novembre 2010

La blogue pour mourir est une fade école

Du toujours insubmersible Entre deux eaux, cette tentative de critique littéraire en brasse coulée :

L'âme de Genet, de celui qui est entré en littérature par l'obscénité sublime, faisant le premier d'une bite en érection ou d'un jet de foutre non une fantaisie d'élite, reléguée aux dessous des manteaux de salons, mais une poétique clamée, au garde-à-vous en tête de ligne d'une œuvre d'abord et avant tout profondément humaniste.

9 commentaires:

  1. J'ai pas compris. Il m'apparait juste que normalement, "une bite en érection ou d'un jet de foutre" sont "une fantaisie d'élite", mais que le poète a remis les choses en place. Enfin, son âme. Tout en clamant poétiquement au gardavous en tête de ligne. Tout ça.J'ai bon?

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  2. Difficile à dire... Je propose qu'on attende l'arrivée du verbe, pour se prononcer.

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  3. C'est quoi, un "manteau de salon" ?

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  4. Le jet de foutre sous le manteau de salon, c'est quand même ultra salissant...

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  5. Sophie K,

    je suppose qu'il manque un "s" à salon... Les salons...voyez ?

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  6. Dorham : je plaisantais un chouïa, j'avoue. La phrase citée est si mal fichue qu'on est obligé de la découper suivant les pointillés pour la piger (et encore).

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  7. Sophie K,

    C'était peut-être un exercice de style, qui sait...

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  8. Dorham : Peut-être, oui, mais juste si on compare l'exercice en question avec celui d'un lanceur de marteau (de salons), alors.

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  9. Les lanceurs de marteaux ont des jets de foutre aussi, dans leur combi en lycra.

    (en même temps, j'ai pas mal étudié Genet, en particulier à l'Université et j'ai toujours trouvé ça chiant, limite abscons, mis à part peut-être Le Journal du voleur - et encore...(je ne suis pas loin de considérer cela comme une tare))

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