vendredi 12 novembre 2010

Le roi et ses petits canards chinois

Trouvé cette fois encore chez les tarés transgenres qui grenouillent dans les intestins de Mademoiselle. Sauf que ce n'est plus Ali mais Isa qui s'y colle (rappelons qu'Isa est un homme, enfin je crois bien). C'est extrait du commentaire n° 24 : faites attention, c'est de la dope non coupée.


On peut suspecter que le rire roboratif qui s’esclaffe au comique de la nudité grotesque du roi et devant la bouffonnerie de ses laqués, sera invariablement écrasé par l’hilarité fasciste qui submerge, depuis la télé et le cinéma jusqu’aux conversations privées, le siècle.


Essayez de dormir tout de même...

6 commentaires:

  1. Oh la vache, c'est fort, ce truc. Failli avaler de travers.
    (Y'a pas que d'la pomme dedans, j'pense, non ?)

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  2. J'avais pas remarqué que la télé et le cinéma étaient fascistes et hilarants.
    A part ça, le rire du robot s'esclaffe, le roi est grotesquement nu et les laqués se bouffent. Invariable, tout ça. Quel siècle!

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  3. Non y'a aussi de la betterave... Geargies

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  4. Leur dédain pour les laqués est le signe d'un mépris pour la cuisine chinoise et d'une stigmatisation inadmissible. Appelons la Halde !

    Plus sérieusement, comment peuvent-elles (et leurs commentateurs) être aussi connes ?

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  5. Le roi et ses laqués : il faut leur couper... les cheveux !

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