Aussi, pendant que Madame Le Pen, présidente d’un parti si manifestement
sinistré et grillé, aux valeurs morales plus que discutables au vu de
la médiocrité et de l’incurie de ses candidats, préfère s’en prendre à
un journaliste, comme cela est l’habitude de ce parti qui respecte si
peu les règles démocratiques et républicaines, je m’exprime quant à moi
en mon âme et conscience en écrivant haut et fort que le mépris social
dont elle l’affuble ne ferait que répondre après tout à celui que nous
adresse tous les jours, en quantité invraisemblable, dans la rue, sur
les réseaux sociaux et dans la vie quotidienne par leurs pratiques et
leurs propos discriminatoires (quand ce n’est pas par la violence
physique), dans un vocabulaire si souvent approximatif (alors que
moi-aussi, je suis du même peuple) les militants et sympathisants du FN,
colporteurs infâmes de ses thèses désastreuses.
Vous pouvez vérifie
r : il n'y a bien qu'une seule “phrase”.
(Source.)