vendredi 31 décembre 2010

Rewriter, ce métier de chien dans un gant de velours


Sans doute pour que 2010 ne me laisse vraiment aucun regret, on m'a donné pour la conclure à récrire un texte de six mille signes, dont la dernière phrase était celle-ci :


Et, lorsqu’elle veut se souvenir, elle se rend au Louvre le plus naturellement du monde, comme elle a tissé sa vie suivant les élans de son coeur, avec une volonté de fer dans un monde de velours.

6 commentaires:

  1. Ah, j'aurais mis "une volonté de faire", tankafer.

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  2. Rewriter? De la chirurgie esthétique mais mais bien payée. A propos de bistouri, ça serait pas la grande Carla?

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  3. A changer "mais" par "moins"! Diable, où sont mes lunettes!

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  4. Très belle phrase, sobre et toussa, de Dame Araignée.
    Qu'est-ce qui vous gêne?
    Et puis c'est vrai qu'on va au Louvre comme à la boulangerie du coin.

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  5. Hummm une biog de Dalila? Ou du genre? J'espère que les étrennes qui vont avec sont substancielles ;-))) Geargies.

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  6. moi, j'aurais transformé ça avec une allusion à Talleyrand et un truc autour de la merde dans un bas de soie... Là, on a bien la merde verbale... reste à trouver la soie !
    Mais bon, que veux-tu changer là-dedans ? A priori, ya rien à faire dans un texte de balourd...

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