Je sais bien que votre principe est de ne citer qu'une phrase mais ce petit chef d’œuvre du n'importe quoi eût mérité mieux.
En passant sur les énormes fautes d'orthographe, d'emblée il a frappé fort : "Il faudrait que tu [...]donne quelques compensations à ces retraités qui subissent ton rallongement anxiogène de la durée de cotisations." Ne pourrait-on pas informer ce Juan que les retraités ne cotisent plus ?
Cette prière (on a vraiment cette impression en lisant) reste cohérente, mais je ne crois pas que son auteur se rende bien compte à qui il a affaire ! Dans l’hystérie de la victoire, il pouvait croire à un partage des tâches entre sociétal, Etat stratège, transition écolo.
Mais, maintenant, vu l'état des comptes, la solidité de l'Allemagne, les sondages, cette prière est touchante de naïveté... Je rappelle que le même Juan avait défendu Valls d'un vibrant et désormais célèbre "Bref... Mais quand même !". Quand le militantisme tourne au ridicule...
L'homme qui parlait à l'oreille de la précarité… Le reste du texte n'est pas mal non plus.
RépondreSupprimerC'est qui cette andouille ?
Je sais bien que votre principe est de ne citer qu'une phrase mais ce petit chef d’œuvre du n'importe quoi eût mérité mieux.
RépondreSupprimerEn passant sur les énormes fautes d'orthographe, d'emblée il a frappé fort : "Il faudrait que tu [...]donne quelques compensations à ces retraités qui subissent ton rallongement anxiogène de la durée de cotisations." Ne pourrait-on pas informer ce Juan que les retraités ne cotisent plus ?
Cette prière (on a vraiment cette impression en lisant) reste cohérente, mais je ne crois pas que son auteur se rende bien compte à qui il a affaire !
RépondreSupprimerDans l’hystérie de la victoire, il pouvait croire à un partage des tâches entre sociétal, Etat stratège, transition écolo.
Mais, maintenant, vu l'état des comptes, la solidité de l'Allemagne, les sondages, cette prière est touchante de naïveté...
Je rappelle que le même Juan avait défendu Valls d'un vibrant et désormais célèbre "Bref... Mais quand même !". Quand le militantisme tourne au ridicule...
Amike