Par un prospectus atterri dans ma boîte aux lettres, on m'invite à la “soirée jeux de société modernes”, et l'on me promet que j'y découvrirai tout un univers de nouveaux jeux. C'est alors qu'intervient la précision alléchante :
Encadrée par un ludothécaire confirmé.
Je sens que ce ludo-là va me faire la journée.
Qui est souvent un ludo-précaire. Encore un damné de la terre, il faut vraiment se mobiliser pour interdire les licenciements et imposer le contrat à durée éternelle. Embauché un jour, embauché toujours !
RépondreSupprimer"Mondernodosité" ? C'est un peu trop rude d'annoncer ça au malade. Un peu le genre de maladie fatale suggérant d'horribles excroissances atrocement douloureuses en phase terminale !
RépondreSupprimerDites plutôt "modernitude", c'est positif et l'agonie est plus sereine.