Nous
sommes quatre-vingts pour cent d'une classe d'âge depuis les années 80 à
avoir obtenu le baccalauréat. Nous ne sommes pas des ignorants ou des
analphabètes.
Je sais bien qu'il y a là deux phrases et non une seule. Mais l'occasion d'épingler ce cuistre était trop tentante…
Paul Léautaud, en son temps, avait bien compris que les français étaient des imbéciles (il ne parlait pas d'armée, lui). Voltaire aussi. La lecture de la prose de monsieur Poireau confirme, qu'hélas, cela n'a pas changé. Pourquoi d'ailleurs cela aurait-il changé ?
RépondreSupprimerIl vaut mieux, à tout prendre, être un cuistre plutôt qu'un cuistre fieffé !
RépondreSupprimerIl est encore dans ma blogroll ? Ou vous avez trouvé ça ailleurs ?
RépondreSupprimerTrouvé ailleurs…
SupprimerVous me rassurez pour ma blogroll mais c'est limite vexant. Vous trouvez des cô'eries ailleurs que chez moi.
SupprimerQuelle fierté que d'attirer l'attention de gens aussi brillants que vous, quelle flatterie que vos nobles yeux se posent encore sur la plèbe.
RépondreSupprimerIl se pourrait que la contradiction vienne du "s" de quatre-vingt... Je ne sais pas si c'est ça, mais, si oui, l'argument me semble faible...enfin, chacun se le voit
Supprimernous ne sommes pas QUE ou TOUS aurait été plus juste
RépondreSupprimerje viens d'y faire un tour Eh ben dites donc, c'est du grand art, le haut du panier, l'Himalaya Affaire a suivre, comme qui dirait
RépondreSupprimerEn plus c'est un peu faux : s'agissant du bac généraliste, on peine à atteindre les 40%. Ce sont les "autres" bac qui ont permis de faire progresser le pourcentage.
RépondreSupprimerIl ne faut pas confondre taux de réussite de ceux qui se présentent à l'examen et classe d'âge.
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