Je me suis construit une bonne estime de moi, quasi indestructible.
(Tout le billetest à savourer. C'est l'histoire d'un mec qui vit du RSA – de charité publique obligatoire, donc – et qui en tire la conclusion suivante : « J’existe par moi-même en tant qu’individu autonome et adulte, je me suffis. » Comme de juste, après ce superbe bombement de torse, le texte se finit en pleurnicheries existentielles.)