Au milieu de ces deux courants, près
du vieux port des Charentes, Jean-Christophe Cambadélis rame comme un
beau diable pour éviter que sa galère ne chavire pas.
Au mi-lieu de ces deux cou-rants (8) près du vieux port des Cha-ren-tes (8) Jean-Chris-tophe Cam-ba-dé-lis rame (8) Comme un beau diable pour é-vi-ter (8) Que sa ga-lère ne cha-vire pas (8)
Une négation de trop. Il faudrait ôter le pas.
RépondreSupprimerMon cher, c'est précisément pourquoi la phrase a les honneurs de ce blog !
SupprimerSuave mari magno ...
RépondreSupprimerEli
… et dona ferentes.
Supprimerje pensais à la presse (et à ses gros titres) plutôt qu'au père Noël socialiste si c'est bien le sens de votre réponse
SupprimerEli
C'est une licence poétique.
RépondreSupprimerAu mi-lieu de ces deux cou-rants (8)
près du vieux port des Cha-ren-tes (8)
Jean-Chris-tophe Cam-ba-dé-lis rame (8)
Comme un beau diable pour é-vi-ter (8)
Que sa ga-lère ne cha-vire pas (8)
Alphonse Mike
Désolé mais, à part le premier, vos octosyllabes sont tout pourraves : pas un qui ait ses huit syllabes !
SupprimerIl paraît que c'est plutôt avec des beignes qu'il va tenter de mettre son petit monde au pas !
RépondreSupprimerLe petit beigneur ?
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