dimanche 20 janvier 2013

Y avait longtemps…


Il n'empêche que je m'interroge sur le discours ambiant repris par toute une partie de personnes sans distinction d'étiquettes.

Moi, de la même chose pareil comme elle.

(Cloaque.)

P.S. : tout le billet est évidemment à lire, pour cette langue si savoureuse qui n'appartient qu'à notre Mamie nationale. Mais je recommande tout particulièrement, à la fin, la petite chanson de l'abrutie à cheveux rouges : un condensé de néant.

7 commentaires:

  1. J'ai lu les 6852 premières lignes du billet, puis j'ai décroché...
    A part ça, ce n'est pas très charitable de tirer sur l'ambulance, monsieur Goux....

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    1. Relisez la devise de ce blog : cruel par nécessité !

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    2. Je n'ai pas lu tous ses articles, au début je pensais qu'elle devait avoir la vingtaine (ce qui aurait pu excuser le débit de conneries), mais apparement elle a 42 ans, donc plus d'excuses possibles: feu à volonté!

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  2. Dans ce cloaque on ne sait que choisir ! Personnellement, la magistrale leçon de stylistique qui suivit en commentaire le billet précédent m'a paru d'une drôlerie (involontaire comme toujours) difficilement dépassable.

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    1. Oui, moi aussi ! Mais ça n'entrait pas dans le cadre de ce blog…

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    2. Je vous remercie d'avoir attiré mon attention dessus, Jacques. J'ignore l'effet que ça fait, mais j'imagine que c'est de l'ordre du rail de choc' sous acides animés -)

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  3. Par sa prétendue gentillesse, la gauche et ses adorateurs sont complices de la racaille.

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