Ça me rappelle les articles de je ne sais plus quel pisse-copie du Monde qui, en 1975, n'en finissait plus de jouir, dans chacun de ses papiers, à l'entrée de Pol Pot et ses sbires dans Phnom Penh. Même qu'on allait voir ce qu'on allait voir. La bourgeoisie inféodée au capitalisme allait être mise au pas et les ouvriers retrouveraient leur dignité dans un pays devenu le havre du socialisme sur terre.
On a jamais pu trouver le moindre articulet dans lequel il reconnaissait s'être trompé, à défaut de reconnaître que la gauche n'est rien d'autre qu'un seau d'épluchures dans lesquelles s’épanouissent les plus belles ordures de la terre.
Oh ! Ça va, arrêtez de faire votre sucrée. Des années durant vos potes n'ont eu que l'insulte à la gueule, et bon nombre continuent encore. Alors ne venez pas jouer les rosières parce qu'on use du même procédé à leur endroit.
Votre pote il tombe en adoration devant Chavez, l'autre fait de la retape pour Guevara en s'émerveillant de le voir si bien parler français. On aime les grands démocrates chez vous, faut assumer vos amitiés.
Hé, Koltchak, faut arrêtez le rosé ! Premièrement, mon commentaire s'adressait à Juan et non à vous. Deuxièmement, je ne m'offusque en aucune manière du billet de Didier que je trouve justifié. Troisièmement, vous ne savez pas qui sont mes potes ; mes potes, comme vous dites, ne sont certainement pas des internautes. A la différence d'un certain nombre de blogueurs, je ne suis ni un idéologue, ni un militant.
Ça me rappelle les articles de je ne sais plus quel pisse-copie du Monde qui, en 1975, n'en finissait plus de jouir, dans chacun de ses papiers, à l'entrée de Pol Pot et ses sbires dans Phnom Penh. Même qu'on allait voir ce qu'on allait voir. La bourgeoisie inféodée au capitalisme allait être mise au pas et les ouvriers retrouveraient leur dignité dans un pays devenu le havre du socialisme sur terre.
RépondreSupprimerOn a jamais pu trouver le moindre articulet dans lequel il reconnaissait s'être trompé, à défaut de reconnaître que la gauche n'est rien d'autre qu'un seau d'épluchures dans lesquelles s’épanouissent les plus belles ordures de la terre.
Franchement, plus ça va, plus il en tient une couche celui-là !
RépondreSupprimerOh ! Ça va, arrêtez de faire votre sucrée. Des années durant vos potes n'ont eu que l'insulte à la gueule, et bon nombre continuent encore. Alors ne venez pas jouer les rosières parce qu'on use du même procédé à leur endroit.
SupprimerVotre pote il tombe en adoration devant Chavez, l'autre fait de la retape pour Guevara en s'émerveillant de le voir si bien parler français. On aime les grands démocrates chez vous, faut assumer vos amitiés.
Hé, Koltchak, faut arrêtez le rosé ! Premièrement, mon commentaire s'adressait à Juan et non à vous. Deuxièmement, je ne m'offusque en aucune manière du billet de Didier que je trouve justifié. Troisièmement, vous ne savez pas qui sont mes potes ; mes potes, comme vous dites, ne sont certainement pas des internautes. A la différence d'un certain nombre de blogueurs, je ne suis ni un idéologue, ni un militant.
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