J’aime finalement l’idée qu’il faut rappeler que le changement, quand il
s’incarne peu, ou au prix de renoncements idéologiques détestables, ne
vaut rien, voire pire.
Petite réflexion désabusée en passant, aucun découragement, au fond, on
se demande si se faire l'arbitre des élégances ne comporte pas au moins
le recul nécessaire afin de se sentir moins concerné par tout ça.
je ne voudrais pas être sévère : je suis persuadé que les gens sont trop désabusés au point de tomber dans le fatalisme et ca entraîne une spirale infernale vers la dévalorisation de soi, et de ce fait, de se convaincre qu'on a pas sa place dans cette société alors qu'on existe.
Et même inexistant par rapport à l’Univers; Alors certains prétentieux
qui se croient sortis de la "cuisine" de Jupiter feraient mieux de
s’écraser mollement et de se situer humblement dans ce gigantesque
décors, au lieu de vouloir réduire la planète à leurs petites exigences
de sciences infuses et de stakhanovistes du business destructeur de
nature.
moi qui est été 7 ans Directrice de Communication, moi qui est créé
durant autant d'années des supports papier, étais directrice de
publication, qui écrivais les éditos systématiquement, moi qui avait du
papier partout, des dossiers ouverts autour de moi et bien aujourd'hui
j'ai autant de blogs... et ne m'en lasse pas...
Partout en France et à Courbevoie vous trouverez des Femmes et de Hommes pensant et agissant en citoyen, impliqué(es) dans la vie social, de leur quartier, de leur ville et que vous pouvez rejoindre sans tarder pour venir apporter votre pierre à l’ouvrage commun en construction afin de changer les relations sociales, au quotidien, comme à tous les niveaux de responsabilités.
Dimanche, dans les rues de Paris, environ 20 000 personnes ont défilé,
malgré des pluies antédiluviennes, entre Bastille et Opéra, en passant
par République, pour un « jour de colère ».
"Je fais savoir que j'ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler".
Par la même occasion, notre président a également mis fin à la vie commune qu'il partageait avec la langue française : c'est ce qui s'appelle entériner un désaccord de fait.
Les députés de la gogôche du PS avaient l'occasion historique de
s'opposer à la réforme qui mettra les travailleurs à la retraite jusqu'à
67 ans avec une pension de misère.
La phrase suivante, qui donne envie : « Il y a des cours de step tous les soirs sur le parking du Tesco Lotus. »
Deux lignes plus bas, cette merveille absolue (et j'en resterai là) : « Chaque repas chez Elvis me met le feu au fondement et m’oblige à courir me moucher au moins 2 fois. »
Les nouveaux obsédés de l'envers du modèle allemand oublient-ils le niveau incompressible de pauvreté d'une société pour mieux justifier l'immobilisme français ?
La concision et la clarté titrières, c'est sur Atlantico et nulle part ailleurs (heureusement) !
J'ai pris celle-là un peu au hasard, en fait. Le billet de Juanito est à lire intégralement : je crois que cet aimable garçon est en voie inquiétante de rosaellisation…
Manuel Valls va encore une fois gesticuler dans tous les sens, pour le principe, sans pour autant réussir à empêcher que ces règlements de comptes s'arrêtent définitivement...
Alors qu'il est évidemment nécessaire, vital même, que ces règlements de comptes se poursuivent ! Salaud de ministre, tiens…
(La phrase est de Pierre Parrillo, sur son “mur” Facebook.)
Dès sa nomination, Manuel Valls a immédiatement agité la frange la plus
hostile à l’objectif politique maintes fois rappelé dans ces colonnes ou
sur le blog principal: retirer le maintien de l’ordre (*) d’une
instrumentalisation politique récurrente.
Alors pendant qu’on essaie de vous
endormir pour que les responsables de cette situation puissant à nouveau
passer pour se bons Saint-Maritain, ne perdez pas de vue
que la situation actuelle se dégrade et qu’ils auront beau
gesticuler de toutes leurs forces, nous ne sommes en aucun cas dupe…
detout temps il y a eu des armées féminines et féminisées.
C'est parfaitement exact. D'ailleurs, sur le tableau montrant le passage de la Bérézina par les restes de l'armée impériale, on repère très bien les nombreuses femmes. À leurs bonnets de bain.